Une pensée bénéfique n’est pas nécessairement agréable

Prenons l’exemple de Sarah qui souffre de migraines qui l’empêchent de travailler.

Voici une pensée qui semble nuisible parce qu’elle est désagréable :

  • « Je pense que j’ai besoin d’aide médicale pour mes migraines ».
  • En fait, cette pensée est bénéfique, car elle favorise le bien-être de Sarah.

Voici une pensée qui semble bénéfique parce qu’elle est agréable :

  • « Je suis une personne solide et je n’ai pas besoin de me faire aider dans la vie ».
  • En fait, cette pensée est nuisible, car elle pourrait mener Sarah à éviter de recevoir l’aide dont elle aurait besoin pour ses migraines.